Un monde bleu

Le bleu me ravit car il évoque l’eau, mon élément, ainsi qu’une certaine forme de sérénité. Je me rends compte que j’ai choisi des photos mettant en lumière des bleus presque similaires !

Papillon Joris

Penélope Cruz, l’une de mes actrices favorites, plus pour le talent que pour la filmographie.

Photo de Lawrence Walton
Une chanson que j’écoute beaucoup en ce moment. Dua Lipa est la digne héritière de Britney Spears à mes yeux (artiste que j’adulais durant mon adolescence, ainsi que ses quatre premiers albums) ; j’estime qu’elle a tout pour connaître une grande carrière.

J’aimerais posséder une collection de saphirs. Précision : ils ne sont pas tous bleus.

Leonardo DiCaprio, l’une de mes idoles de jeunesse : je me pâmais devant ses beaux yeux clairs, plus exactement ses yeux glas comme disent les Bretons, c’est à dire son regard bleu-vert !

C’est grâce à cet essai que j’ai découvert l’historien Michel Pastoureau ; j’y ai appris des éléments très intéressants, pour moi qui suis passionnée d’Histoire de l’art !

J’aime moins ceux qui se rapprochent du gris.

Goethe décrit le bleu comme une couleur pleine de vitalité, mais dépourvue de joie. « Il anime moins qu’il n’inquiète. » Être amoureuse du bleu revient-il alors à être amoureuse du trouble ? Et quel genre de folie est-ce là de toute façon, être amoureuse de quelque chose qui est par nature incapable de vous aimer en retour ? Un extrait de « Bleuets », un recueil de Maggie Nelson, paru en 2009.

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